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La pollution et l’activité humaine ont dégradé la situation de la faune et de la flore sauvages, qui sont actuellement en voie d’extinction, causant ainsi un déséquilibre de la biodiversité et la disparition de certaines espèces.
Pour contrer ce fléau, des actions et des directives ont été mises en place pour protéger et conserver au moins 400 espèces végétales.
Découvrez dans notre article les 8 fleurs à ne pas cueillir et comment les repérer.
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L’iris de Sibérie
L’iris de Sibérie, également connu sous le nom scientifique d’Iris sibirica, est une espèce largement distribuée en Europe et en Asie. On la retrouve principalement en régions montagneuses, où elle égaye le panorama avec ses fleurs bleues.
Cultivée au printemps et utilisée comme plante d’ornement, l’iris de Sibérie est très résistante au froid, pouvant pousser à des températures atteignant -29 °C et nécessitant une exposition totale au soleil.
L’oreille d’ours
L’oreille d’ours, ou Stachys Byzantina, est une plante au feuillage doux, donnant l’impression d’une peluche avec des reflets argentés. Cette espèce fleurit dès la fin du printemps, arborant de discrètes minipétales roses mauves qui font leur effet.
L’oreille d’ours a la particularité d’être résistante à la sécheresse et de demander peu d’entretien, ce qui vous permet de la cultiver facilement dans votre jardin ou en bord de mer.
La ketmie rose de marais
La ketmie rose de marais, ou Hibiscus moscheutos Rose, est un petit arbuste aux grandes fleurs dotées de pétales rose vif. Originairement cultivée en Asie et en Égypte, elle a ensuite été importée en Europe. Sa résistance à des températures de -10 °C en fait un choix idéal pour les régions françaises.
Si cette espèce vous intéresse, sachez que vous pouvez la cultiver au printemps dans un pot, sur une terrasse ou un balcon.
L’anémone palmée
L’anémone palmée, ou Anemone palmata, est une plante cultivée en hiver et au printemps, reconnaissable à ses fleurs jaunes non parfumées. Souvent rencontrée dans le Sud méditerranéen, elle se fait discrète en France. Sa rareté en fait une espèce surprotégée et encadrée par l’arrêté du 20 janvier 1982 (modifié en 2013).
Dotée d’une rusticité accrue, atteignant les -15 °C, cette espèce peut parfaitement évoluer dans un pot le long d’une terrasse ou d’un balcon, tout comme dans un jardin, facilitant ainsi son entretien.
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L’hibiscus à cinq fruits
L’hibiscus à cinq fruits ou Hibiscus pentacarpos, est une plante vertigineuse portant à son extrémité des fleurs rose lilas. Cette plante d’étang et de mer s’avère difficile à cultiver dans un jardin, car elle se trouve uniquement au niveau du littoral corse, principalement en Haute-Corse. Sa période de floraison s’étale de juillet à août.
Le pastel des Alpes
Le pastel des Alpes ou Isatis alpina, est une plante vivace très feuillue portant des fleurs d’un jaune éclatant. Avec une résistance atteignant -20 °C, elle se retrouve à 1200 mètres d’altitude dans les prairies et les rochers élevés des Hautes-Alpes.
L’andromède
L’andromède, ou Pieris, est un arbuste au feuillage rouge vif virant au vert, avec des fleurs regroupées en grappes de clochettes retombantes, de couleur blanche ou mauve.
Cet arbre majestueux peut atteindre 4 mètres de hauteur et est rencontré en France et au Québec, avec une jolie floraison s’étendant de février à juin, profitant d’une exposition totale au soleil.
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L’anémone couronnée
L’anémone couronnée, ou Anemone coronaria, est une espèce vivace poussant dans les prairies et les champs en Provence, Languedoc, Charente-Maritime et en Corse.
Connu pour sa capacité à renfermer sa fleur hermaphrodite durant la nuit et à révéler le lendemain de beaux pétales de couleurs variables (rose, rouge, blanc, violet ou bleu).
